BLOG DU MASTER UCI
INSTITUT D'URBANISME ET DE GÉOGRAPHIE ALPINE - GRENOBLE
Aujourd'hui, Anastasia a eu la chance de pouvoir poursuivre ses missions au sein de Solidarité Mercier-Est. Après cette embauche, de nouvelles missions lui ont été confiées comme la promotion de Saines Habitudes de Vie, favorisant une alimentations saine et le recours aux modes de transports actifs dans le quartier;
L'aspect urbain reste très présent dans ses missions, ce qui l'enthousiasme.
A l'avenir, Anastasia, riche d'expériences aux Etats-Unis, en Tunisie et au Canada, envisage de revenir en Europe, pour se rapprocher de sa famille et de ses amis. L'Europe de l'Est ou l'Europe du Nord, la jeune urbaniste se laisse le choix. Et s'informe par ailleurs sur les VIE et VIA dans ces deux régions.
« Qui vivra, verra comme dit le dicton ! »
Rencontre avec Anastasia, qui est partie en stage à Montréal, au Canada
« Je suis partie en stage à Montréal, Québec, pendant 5 mois (de mars à août 2017) au sein de
la Table de quartier Solidarité Mercier-Est.
Une Table de quartier (aussi appelée Table de concertation) est un organisme à but non lucratif qui mobilise les citoyens et tous les autres acteurs (acteur public, acteurs parapublics, acteurs privés, etc) œuvrant à l’échelle d’un quartier autour d’enjeux et d’actions déterminés collectivement et qui ont un impact sur son
développement social, urbain, environnemental et économique.
Dans ce contexte, mon stage a été rythmé par 4 missions distinctes :
- mobiliser des commerçants du quartier en vue d’un évènement rassembleur de type foire commerciale pour faire la promotion de la rue Hochelaga, considérée comme l’artère commercialedu quartier ;
- gérer le projet d’installation de panneaux d’interprétation et de plaques murales sur plusieurs placettes publiques à travers le quartier ;
- organiser une activité de sensibilisation sur les enjeux des passages pour piétons ;
- relocaliser du mobilier urbain.
Ce stage a été très formateur, au niveau professionnel d’abord, dans le sens où durant 5 mois, j’ai travaillé en collaboration avec toutes sortes d’acteurs publics et privés : la Ville de Montréal, les commerces, les écoles et les organismes du quartier mais aussi des ingénieurs, des urbanistes, des agents de développement social et des graphistes. Aussi et afin de mener ces missions à leur terme, le travail de terrain à occuper une bonne partie de mon temps. Au niveau personnel, une expérience à l’étranger est toujours bénéfique ; elle permet d’en apprendre beaucoup sur soi. C’est sans doute la meilleure école de soi-même qui existe. »
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